Les meilleurs films créent des mondes avec une magie apparemment sans effort. Lorsqu'un film fonctionne, le public ne remarque pas les éléments qui construisent un sens cohérent du temps et de l'espace. Ils ne pensent pas à l'éclairage, aux mouvements de caméra ou au décor, car ils sont immergés dans le monde à l'écran. La continuité est invisible. Un personnage ouvre une porte, et la coupe suivante montre une action continue alors que la porte s'ouvre dans l'espace suivant avec les cheveux et le costume du personnage identiques même si les deux plans ont été filmés à des mois d'intervalle. Les bons films n'attirent pas l'attention sur leur production.
En revanche, les caractéristiques des films vraiment terribles incluent toutes les façons dont ils rendent leurs coutures visibles et évidentes. Ils attirent ostensiblement l'attention sur leur production, et surtout sur toutes les erreurs, incohérences et gaffes qui entravent la continuité. Les gaffes de continuité incluent des erreurs évidentes dans l'édition. Les boissons d'un bar sont pleines d'un coup, vides ensuite, puis pleines à nouveau. Des équipements de production tels que des micros à perche, des ombres de caméra et des câbles de sécurité apparaissent à l'écran. Des changements évidents dans la garde-robe et le maquillage se produisent d'un coup à l'autre. Les emplacements ne correspondent pas et les conditions météorologiques changent. Les pires films attirent l'attention sur le fait qu'il s'agit de films :des plans de scènes mises en scène montées ensemble, tandis que les meilleurs films permettent au public de s'immerger dans un monde où il oublie qu'un appareil photo était omniprésent.
Pour illustrer ce point, Stacker a rassemblé des données sur les 100 pires films d'IMDb en octobre 2020 et les a classés en fonction des votes des utilisateurs d'IMDb avec des égalités rompues par le nombre de votes, le n ° 1 portant le titre du pire. Seuls les longs métrages de langue anglaise avec plus de 10 000 votes d'utilisateurs ont été pris en compte. Pour chacun des pires films de cette galerie, nous avons mis en évidence une erreur (ou plusieurs) allant d'erreurs mineures à majeures.
Les pires films sont généralement des suites, des troisième ou quatrième voire septième volets, des remakes, des adaptations de jeux vidéo, des parodies et des parodies, ou des ramifications d'une franchise qui refuse de mourir. Parce que ces films font implicitement référence au film original, ils sont déjà confrontés à des obstacles impossibles alors qu'ils tentent de retrouver et de recréer ce qui a fonctionné la première fois. Ces types de films ont souvent des budgets inférieurs et des acteurs vedettes ou inconnus. Le fait évident que ces films suivent un modèle ou une formule contribue à leur infériorité. Le public arrive avec des attentes préchargées. Ils sont conscients des modèles, des modèles, des formules et des clichés, de sorte que les intrigues, les personnages de stock et les configurations apparaissent comme manifestement construits. Les bons films encouragent la croyance suspendue, tandis que les mauvais la laissent tomber et s'écraser.
Certains mauvais films, comme "The Room" de Tommy Wiseau, possèdent un charme délectable qui vient de l'exposition involontaire de leurs défauts. Cependant, le bon-mauvais film est un trésor rare. La plupart de ceux qui figurent sur notre liste sont tout simplement et douloureusement horribles.
1 / 100
- Réalisateur :Paul Schrader
- Note des utilisateurs IMDb :3,8
- Metascore :36
- Durée :99 min
Thriller dramatique érotique mettant en vedette Lindsay Lohan et James Deen, "The Canyons" est un flop intéressant mais difficile à regarder sur le désespoir et la mièvrerie d'Hollywood. On pourrait dire que tout le film est une erreur de tonalités concurrentes, mais il y a un moment, lorsque la caméra fait un panoramique sur une femme morte et que son pouls est clairement toujours visible, qui se démarque comme un oups majeur.
3 / 100
- Réalisateur :Robert Kouba
- Note des utilisateurs IMDb :3,8
- Metascore :données non disponibles
- Durée :92 min
Film de science-fiction suisse et américain sur la conquête du monde par l'IA, "Singularity" a été tourné pour la première fois en 2013, mais n'est sorti qu'en 2017 après l'ajout de scènes supplémentaires mettant en vedette John Cusack. Compte tenu de la façon dont il a été bricolé, il est compréhensible qu'une poignée d'erreurs se retrouvent dans le montage final du film. Cependant, le plus flagrant, du moins pour le spectateur aux yeux d'aigle, est le fait qu'un appareil photo vieux de 100 ans trouvé par nos personnages principaux a encore des piles neuves et un film à développement instantané.
/>4 /
- Réalisateur :Allan Arkush
- Note des utilisateurs IMDb :3,8
- Metascore :7
- Durée :98 min
Le premier "Caddyshack", mettant en vedette Bill Murray et Chevy Chase, a été un succès malgré sa bêtise farfelue. La deuxième entrée ramène Chase mais n'atteint pas les sommets comiques du premier film malgré ses efforts. L'ensemble du film pourrait être considéré comme une gaffe gigantesque, mais dans une scène avec Dan Aykroyd (en tant que militaire loufoque), une pastèque explose avant l'impact avec la cause de l'explosion :une balle de golf imprimée d'un crâne et d'os croisés.
6 / 100
- Réalisateurs :John Boorman, Rospo Pallenberg
- Note des utilisateurs IMDb :3,8
- Metascore :39
- Durée :117 min
La suite du succès au box-office, "The Exorcist", souffre de se prendre trop au sérieux. Mettant en vedette Linda Blair dans le rôle de Regan, cette fois de quatre ans son aînée et toujours démoniaque, plusieurs scènes se déroulent sur le toit d'un gratte-ciel en miroir. Les prises de vue en miroir nécessitent des prouesses techniques intensives, comme dans la scène de la "galerie des glaces" dans "La Dame de Shanghai" d'Orson Welles. Des visuels similaires dans ce film montrent dans une scène ce qui semble être les doigts d'un caméraman dans l'un des miroirs.
7 / 100
- Réalisateur :Raja Gosnell
- Note des utilisateurs IMDb :3,8
- Metascore :41
- Durée :91 min
Drew Barrymore exprime le chien éponyme et Piper Perabo joue la femme assignée au dogit. Dans une séquence, le chihuahua dépose de la nourriture pour chien dans les chaussures de sa gardienne. Cela révèle une erreur flagrante puisque les mêmes chaussures étaient juste sur les pieds, puis éteintes et ensuite, situées de l'autre côté de la pièce dans un endroit privilégié pour la farce de chien, mais au détriment de la logique spatiale.
8 / 100
- Réalisateur :Ron Underwood
- Note des utilisateurs IMDb :3,8
- Metascore :12
- Durée :95 min
La comédie de science-fiction d'Eddie Murphy est toujours l'un des plus gros flops au box-office de tous les temps. Son budget était de plus de 100 millions de dollars et le film n'a rapporté que 4 millions de dollars. Une fois ajusté à l'inflation, le film a perdu plus de 145 millions de dollars. Malgré le budget de production important, ce film se déroulant sur la lune a l'air bon marché et hokey, en particulier les effets CGI dans une scène de modification corporelle où Murphy et sa co-vedette Rosario Dawson se transforment en culturistes surdimensionnés.
#91. Holmes &Watson (2018)
- Réalisateur :Etan Cohen
- Note des utilisateurs IMDb :3,8
- Metascore :24
- Durée :90 min
Ce clunker commence par une citation de "Hannah Montana" sur l'amour plutôt que sur la logique, de sorte que les anachronismes flagrants du film s'alignent sur son esprit général. L'un des principaux points de l'intrigue implique la reine Victoria à bord du Titanic, qui a effectué son voyage notoire plus d'une décennie après sa mort.
11 / 100
- Réalisateur :Tom Six
- Note des utilisateurs IMDb :3,8
- Metascore :17
- Durée :91 min
Le critique de cinéma estimé Roger Ebert a qualifié cette suite « d'affront... à la décence humaine ». La prémisse, reliant chirurgicalement plusieurs humains, se poursuit sans aucun art cinématographique pour contrer la répugnance. Dans une scène, une victime retire un entonnoir d'un tuyau et commet une atrocité probablement méritée (impliquant un orifice et un insecte). Quelques instants plus tard, l'engin est à nouveau assemblé dans l'arrière-plan flou.
13 / 100
- Réalisateur :Uwe Boll
- Note des utilisateurs IMDb :3,8
- Metascore :15
- Durée :127 min
Le réalisateur Uwe Boll, qui a un doctorat en littérature allemande, a dépensé 60 millions de dollars pour "Au nom du roi", qui n'a rapporté que 6 millions de dollars. Les films de Boll, souvent des adaptations de jeux vidéo, sont connus pour leur technique de production de mauvaise qualité et leur intrigue incohérente. Situé au Moyen Âge, celui-ci présente Burt Reynolds et Ray Liotta aux côtés de Jason Statham. La performance de Reynold en tant que roi est particulièrement maladroite car elle se heurte à la typographie dans des scènes où il est assis sur un cheval, costumé en armure.
14 / 100
- Réalisateur :Marco Schnabel
- Note des utilisateurs IMDb :3,8
- Metascore :24
- Durée :87 min
La performance brownface de Mike Myers d'un gourou indien est l'un des nombreux attributs insipides de cette comédie. La distribution de l'ensemble comprend Justin Timberlake, Jessica Alba et Steven Colbert. La scène de combat de bar est remarquable pour deux gaffes de continuité. Dans le premier, le gourou et son acolyte peuvent être vus s'éloigner dans un long plan. La coupe suivante se rapproche de la paire et ils sont toujours proches l'un de l'autre. Dans une autre séquence, deux filles dont c'est l'anniversaire frappent le gourou, une de chaque côté. Dans les plans suivants, les filles ont changé de position.
15 / 100
- Réalisateur :Joel Schumacher
- Note des utilisateurs IMDb :3,8
- Metascore :28
- Durée :125 min
Le film de George Clooney Batman a été un flop malgré l'effort étoilé (et le fait que le personnage stoïque de Clooney semblait bien adapté pour le rôle). Uma Thurman joue le méchant Poison Ivy avec une joie caricaturale. Dans une scène de séduction, elle arbore soudainement des bracelets à pointes qui n'étaient pas présents dans un plan précédent. Dans la même séquence, Batman succombe à un piège et se fait pendre par les jambes - sa cape est clairement attachée à ses genoux pour l'empêcher de traîner sur le sol.
16 / 100
- Réalisateurs :Adam Jay Epstein, Andrew Jacobson
- Note des utilisateurs IMDb :3,7
- Metascore :données non disponibles
- Durée :86 min
Cette parodie directe en vidéo de comédies sexuelles pour adolescents présente des scènes ridicules telles qu'une classe de lycée où une variété de godes s'évanouissent. Dans un peu impliquant un fétichisme sexuel pour Abraham Lincoln, un garçon ramène sa machine à voyager dans le temps au jour où Lincoln a été assassiné et ils ont des relations sexuelles juste avant l'événement. La séquence utilise le style du film muet bien qu'il n'y ait pas eu de films à l'époque de Lincoln. Cependant, ce point importe peu dans un film bourré d'absurdités absurdes.
17 / 100
- Réalisateur :Wych Kaosayananda
- Note des utilisateurs IMDb :3,7
- Metascore :19
- Durée :91 min
Un critique a appelé ce film d'action "un flou générique de bleu métallique et d'orange boule de feu". Lucy Liu et Antonio Banderas jouent les adversaires des agents spéciaux. Dans une séquence où l'agent de Liu brûle un bus transportant le personnage de Banderas, le bus enflammé écrase une petite voiture qui reste en quelque sorte intacte. Peu de temps après, Banderas saute sur une moto précédemment écrasée et dérapée, indemne et calée malgré le fait qu'elle se trouvait sur la trajectoire directe du bus en feu.
18 / 100
- Réalisateur :Andrzej Bartkowiak
- Note des utilisateurs IMDb :3,7
- Metascore :17
- Durée :96 min
Connu pour sa livraison en bois, l'acteur Chris Klein donne une performance particulièrement mauvaise dans ce film de franchise basé sur un jeu vidéo. L'acteur Neal McDonough joue également le rôle du méchant Bison, qui joue avec un accent irlandais décalé qui entre et sort.
19 / 100
- Réalisateur :Rupert Wainwright
- Note des utilisateurs IMDb :3,7
- Metascore :27
- Durée :100 min
Le thriller de 1980 a utilisé la terreur stylisée dans sa représentation d'une ville côtière hantée par des fantômes. La mise à jour de 2005 n'offre pas les mêmes frayeurs effrayantes et apparaît souvent comme idiote lorsqu'elle juxtapose la tragédie des pirates à l'ancienne avec les adolescents des temps modernes. Un de ces flashbacks survient lorsqu'Elizabeth (Maggie Grace) est assommée dans une cabine de voiture après un accident. Après le flashback, elle est inexplicablement seule au centre d'une route sans aucune indication claire de la façon dont elle s'est retrouvée là.
20 / 100
- Réalisateur :Joe Alves
- Note des utilisateurs IMDb :3,7
- Metascore :27
- Durée :99 min
Dennis Quaid joue le rôle principal dans cette suite au rythme lent de l'original plein de suspense de 1975. Au point culminant de ce film (lorsque le requin traverse la vitre dans une salle de contrôle sous-marine), la créature n'a aucun mouvement et procède en deux dimensions, s'arrêter complètement avant que le verre ne se brise dans ce qui semble être une illustration. L'effet aurait pu être moins gênant lorsqu'il était visualisé en 3D.
23 / 100
- Réalisateur :John R. Leonetti
- Note des utilisateurs IMDb :3,7
- Metascore :11
- Durée :95 min
Au début du film, lorsqu'un missile explose, le film utilise la technique à petit budget consistant à déplacer la caméra de haut en bas pour créer une sensation de tremblement de terre. Cette suite de franchise de films de jeux vidéo affiche des effets peu glorieux tout au long, y compris des costumes bon marché et des ensembles de second ordre. Dans une scène où Sonya (Sandra Hess) combat Mileena (Dana Hee) dans la fosse à boue, Sonja atterrit sur un gros rocher à un moment donné qui bouge sous son poids.
24 / 100
- Réalisateur :Neil LaBute
- Note des utilisateurs IMDb :3,7
- Metascore :36
- Durée :102 min
Le film d'horreur de Neil LaBute sur une sinistre culture matriarcale souffre, comme le dit une critique, "d'un manque comique de menace ou de péril". Même Nicolas Cage, qui mâche des décors, semble le composer. Dans une séquence de plans inversés en un seul plan, la veste de l'acteur passe d'ouverte à boutonnée, puis à nouveau ouverte alors qu'il a une conversation lente avec une co-vedette.
25 / 100
- Réalisateur :Tommy Wiseau
- Note des utilisateurs IMDb :3,7
- Metascore :9
- Durée :99 min
Réalisé par le malheureux auteur Tommy Wiseau, "The Room", apparemment autobiographique, est considéré comme le "bon" mauvais film par excellence rempli d'erreurs de production, de mauvais dialogues et d'inanité rampante. Les deux premières scènes d'amour entre Wiseau (qui joue également) et sa principale dame contiennent ce qui est évidemment la même séquence. La méchanceté du film a une allure étrange et est à la base du célèbre "The Disaster Artist" de James Franco, qui dépeint avec amour le matériel source.
26 / 100
- Réalisateur :C.B. Harding
- Note des utilisateurs IMDb :3,6
- Metascore :17
- Durée :90 min
Cette parodie bâclée et somnolente de films de guerre vise à parodier la guerre en Irak. Au lieu de cela, la prémisse impose la notion raciste "que les ploucs ne peuvent pas faire la distinction entre les personnes à la peau brune". L'intrigue se concentre sur trois gars de l'armée factice qui confondent le Mexique (lorsqu'ils y sont accidentellement déposés) avec l'Irak.
27 / 100
- Réalisateur :Allan A. Goldstein
- Note des utilisateurs IMDb :3,6
- Metascore :données non disponibles
- Durée :99 min
Leslie Nielson revient en plein mode parodie "Avion" dans cet envoi maladroit de "2001:A Space Odyssey" de Stanley Kubrick. La scène d'action d'ouverture concerne une mascotte géante de restauration rapide posée au sommet d'un grand poteau de rue. Lorsque le personnage de flic de Nielson s'écrase sur le poteau, un gros plan montre une maquette de poteau en polystyrène qui se fissure. Bientôt, la mascotte s'écrase contre le plafond d'un restaurant, malgré les prises de vue qui montrent qu'elle n'a pas la portée nécessaire pour rendre cela possible.
28 / 100
- Réalisateur :Josh Stolberg
- Note des utilisateurs IMDb :3,6
- Metascore :données non disponibles
- Durée :85 min
Un film parodique qui combine les intrigues de "The Hunger Games" et "The Hangover", "The Hungover Games" met en vedette Sam Pancake, Tara Reid et Caitlyn Jenner. La plus grande critique du public à l'égard du film est qu'il est paresseux, bousculant souvent les personnages et les lignes qu'il a directement copiés d'autres films.
29 / 100
- Réalisateur :Bo Zenga
- Note des utilisateurs IMDb :3,6
- Metascore :données non disponibles
- Durée :108 min
Jouant contre le tueur de vampires "Van Helsing", "Stan Helsing" suit un commis de magasin vidéo qui affronte des monstres majeurs du cinéma comme Chuckie, Leatherface, Freddy Krueger et d'autres dans une confrontation au bar karaoké. Krueger coupe la chemise de Helsing, mais elle apparaît miraculeusement non déchirée après que le personnage ait enfilé un chapeau noir dans un moment tout aussi absurde que le reste de cette comédie banale et fastidieuse.
30 / 100
- Réalisateur :Chris Fisher
- Note des utilisateurs IMDb :3,6
- Metascore :données non disponibles
- Durée :103 min
Le hit culte du voyage dans le temps, "Donnie Darko", a fait des vagues pour son style atmosphérique et ses rebondissements enivrants. Le suivi direct en vidéo, sur la sœur de Donnie, n'est pas à la hauteur de l'original, mais ses nombreux anachronismes peuvent être négligés car l'intrigue concerne le temps. Le réalisateur de "Donnie Darko", Richard Kelly, désavoue la suite et refuse même de la regarder. Dans une scène, un chapiteau de cinéma répertorie "Strange Days" et "12 Monkeys", dont aucun n'était sorti lorsque le film se déroule, en juillet 1995. "Strange Days" est sorti en octobre 1995; "12 Monkeys" n'est sorti qu'en janvier 1996.
31 / 100
- Réalisateur :Guy Ritchie
- Note des utilisateurs IMDb :3,6
- Metascore :18
- Durée :89 min
Madonna joue dans ce flop réalisé par son mari de l'époque, Guy Ritchie. Des coupures de continuité maladroites apparaissent dans une scène avec son amour (Adriano Giannini) qui se déroule dans un couloir sur un yacht à bascule. Giannini tient un gros poisson mort sur son épaule. À un moment donné, il accroche un doigt dans l'œil du poisson, puis sa main agrippe la chose plus loin en arrière en coup et contre-coup dépareillés.
33 / 100
- Réalisateur :Chris Sivertson
- Note des utilisateurs IMDb :3,6
- Metascore :16
- Durée :105 min
Lindsay Lohan joue deux personnages mystérieux - un lycéen torturé et une strip-teaseuse - dans ce film de tueur en série sinistre et largement filmé mettant en scène des amputations et des bêtises. Le film se livre à un motif bizarre et risible dans lequel la couleur bleue apparaît dans l'éclairage, et comme couleurs de costumes et d'accessoires, comme détaillé dans l'analyse FanboyFlicks Bad Movie.
34 / 100
- Réalisateur :Robert Rodriguez
- Note des utilisateurs IMDb :3,6
- Metascore :38
- Durée :93 min
Taylor Lautner joue Sharkboy dans son premier grand rôle au cinéma avant de devenir le loup-garou Jacob dans la série "Twilight". Les critiques ont détesté l'histoire de Robert Rodriquez sur un garçon avec une imagination débordante qui aide les super-enfants à combattre un méchant. Dans une séquence majeure à la fin, l'instituteur (joué par George Lopez) se tient avec un groupe d'enfants. Dans un long plan, il y a un homme barbu, un remplaçant évident pour Lopez dont le personnage est imberbe.
37 / 100
- Réalisateur :Damien Dante Wayans
- Note des utilisateurs IMDb :3,5
- Metascore :40
- Durée :83 min
La famille Wayans collabore à cet envoi grossier et répugnant de films de danse - des films déjà connus pour leur sottise. Dans une séquence, un personnage glisse hors d'une salle de danse sur la tête à travers plusieurs pâtés de maisons jusqu'à ce qu'il sorte d'une autoroute cassée. Les personnages de la salle de danse ont des plans de réaction dramatiques, et bien que le lieu ne semble avoir qu'une seule porte ouverte, ils sont tous témoins de l'événement lointain.
38 / 100
- Réalisateur :Michael Tiddes
- Note des utilisateurs IMDb :3,5
- Metascore :28
- Durée :92 min
Cette parodie très décriée de l'adaptation cinématographique de "Cinquante nuances de Grey" tente d'usurper un matériau déjà extrêmement absurde. L'actrice Kali Hawk livre des lignes avec une imitation parfaite de l'inflexion enfantine et boisée de Dakota Johnson, rendant cette comédie beaucoup plus étrange que drôle.
39 / 100
- Réalisateur :Robert Rodriguez
- Note des utilisateurs IMDb :3,5
- Metascore :37
- Durée :89 min
Le premier "Spy Kids" a présenté le style d'action loufoque et ludique du réalisateur Robert Rodriquez. À la quatrième suite, la prémisse d'une famille d'espions semble tiède et clichée. Dans la séquence d'ouverture du petit-déjeuner, les enfants se disputent un morceau de bacon qui apparaît et disparaît d'une assiette tout au long de la scène.
40 / 100
- Réalisateur :Shim Hyung-rae
- Note des utilisateurs IMDb :3,5
- Metascore :33
- Durée :107 min
"Dragon Wars" présente des effets CGI délicieusement ridicules de dragons et de monstres assortis qui font des ravages à Los Angeles. Les scènes avec les personnages principaux sont moins amusantes. En un instant, un journaliste joué par Craig Robinson arbore un bandage frontal avec des blessures environnantes - à la scène suivante, juste après dans la séquence, les ecchymoses ont disparu. Dans cette même scène, le pull d'une actrice est dégagé d'une épaule par devant, mais des deux lorsqu'elle est filmée de dos.
41 / 100
- Director:Bob Spiers
- IMDb user rating:3.5
- Metascore:32
- Runtime:93 min
“Spice World” is less a movie and more a plotless collection of spliced-together footage of the pop divas living life and singing songs. In that case, the film doesn’t necessarily require precision and little gaffes abound. In a café scene, Mel B stirs her coffee and sets down her spoon—in a match cut to a different angle the spoon is in her hand again.
42 / 100
- Director:Tamra Davis
- IMDb user rating:3.5
- Metascore:27
- Runtime:93 min
Britney Spears (Lucy) makes her film debut in this movie about three friends who hit the road. Zoe Saldana and Taryn Manning co-star. In one scene, the two friends fight on the side of a road while Lucy splays on the car hood. When she gets up to break up the fight, the editing shows her movement as incongruent as she moves off the hood with repeating motions.
43 / 100
- Directors:Malcolm D. Lee, David Zucker
- IMDb user rating:3.5
- Metascore:11
- Runtime:86 min
The mercifully final installment of the “Scary Movie” franchise starts with Lindsay Lohan and Charlie Sheen in bed together for a bit of self-parody that falls flat. The rest of the film is just as inane and slapdash, although Molly Shannon brings wit to a spoof of “Black Swan.” In the same scene, an actress’s lips obviously don’t align with a throwaway line heard on the soundtrack.
44 / 100
- Director:Christopher Leitch
- IMDb user rating:3.4
- Metascore:8
- Runtime:95 min
The boom mic’s shadow almost blends in with those of trees against a shiny van, but it’s still clearly visible above the actors in an early scene in this redux of “Teen Wolf.” The first film starred Michael J. Fox, and in this one, Jason Bateman plays the werewolf.
45 / 100
- Director:Stewart Raffill
- IMDb user rating:3.4
- Metascore:data not available
- Runtime:95 min
This ’80s sci-fi flick is famous for being an “E.T.” rip-off as well as a paragon of crass product placement—the producer struck deals with major brands including McDonald’s and Coca-Cola. The alien family is obviously comprised of actors in rubber suits—except for the stop-motion puppetry of the smallest:the E.T.-esque Mac.
46 / 100
- Director:William Malone
- IMDb user rating:3.4
- Metascore:16
- Runtime:101 min
Known for its incoherent plot, "Feardotcom" concerns a series of murders related to a kinky website. In one continuity gaffe involving a cigarette prop, a character takes a creepy walk to his car while lighting said cigarette. He removes it from his mouth, only to have it reappear without a matching action in subsequent shots.
47 / 100
- Director:Perry Andelin Blake
- IMDb user rating:3.4
- Metascore:12
- Runtime:80 min
Critic Nathan Rabin describes the “turtle” scene in “The Master of Disguise” as “a shift from spectacularly stupid slapstick silliness to something that borders on avant-garde.” This scene in Dana Carvey’s kid movie shows the “Saturday Night Live” alum disguised as a turtle-man hybrid. Carvey plays the scene with amphibious bravado complete with turtle sounds and a remarkable facial contortion that’s undeniably turtle-ish. Still, the sequence makes zero sense and veers from narrative logic.
48 / 100
- Director:Troy Miller
- IMDb user rating:3.4
- Metascore:19
- Runtime:85 min
Eric Christian Olsen and Derek Richardson have an uncanny resemblance to the stars in the original “Dumb and Dumber,” Jim Carrey and Jeff Daniels. This hapless prequel is set during the character’s high school years. At one point, the black-out make-up across Lloyd’s supposedly chipped front tooth is clearly visible.
49 / 100
- Directors:Jason Friedberg, Aaron Seltzer
- IMDb user rating:3.4
- Metascore:18
- Runtime:82 min
“Vampires Suck” was demolished by critics, but managed to gross $80 million worldwide—likely due to its premise as a parody of the highly spoofable “Twilight” series. This play-by-play send-up often fails to exceed the nonsense in the originals. It happens quickly, but in the moment when a cell phone hits Alice (Helena Barrett) in the face, the hand of the production person throwing it is briefly visible on-screen.
50 / 100
- Director:Pitof
- IMDb user rating:3.4
- Metascore:27
- Runtime:104 min
When the eponymous Catwoman (Halle Berry) rides her motorcycle through the city, a safety helmet goes on and off her head depending on the shot. The film was panned for its silly plot and uneven style that Berry’s charisma couldn’t overcome.
51 / 100
- Director:Trent Cooper
- IMDb user rating:3.3
- Metascore:21
- Runtime:89 min
The second installment in the “Larry the Cable Guy” franchise, “Health Inspector” is riddled with continuity mistakes. Notable discrepancies include a vanishing Popeyes cup in Larry’s truck and disappearing notes on an investigation whiteboard. Unfortunately, the irreverent and often misused humor is the film’s biggest mistake.
52 / 100
- Director:Arthur Allan Seidelman
- IMDb user rating:3.3
- Metascore:23
- Runtime:92 min
Arnold Schwarzenegger stars as Hercules in his first film role, hilariously dubbed, leaving the actor’s famous Austrian accent laughably missing. In the first shots that introduce Hercules, he walks upstairs to see his father Zeus. An extra changes position and greenery gets added between shots. Soon after, set lights are visible in Zeus’ crystal ball.
53 / 100
- Director:Kim Henkel
- IMDb user rating:3.3
- Metascore:50
- Runtime:87 min
The first iteration in 1974 of the Texas Chainsaw Massacre franchise became a horror classic set within severe family dysfunction. The fourth entry stars Renee Zellweger and Matthew McConaughey, who offers a bombastic performance as a country boy psycho. In the ending credits, McConaughey's name is spelled wrong with an extra “n:” McConnaughey.
54 / 100
- Director:David Hogan
- IMDb user rating:3.3
- Metascore:40
- Runtime:98 min
Pamela Anderson (Pamela Lee in 1996) of “Baywatch” fame starred as Barb Wire in this cartoonish, comic book film that was panned by critics for its cliché-ridden banality. It’s filled with continuity mistakes in many of its action scenes, including one involving a refrigerator. Barb shoves a bad guy into the fridge and shoots him through the door leaving bullet holes. In the next shot, the holes disappear.
55 / 100
- Director:Tony Leondis
- IMDb user rating:3.3
- Metascore:12
- Runtime:86 min
Despite being geared to Generation Z and based in a digital milieu, this animated film contains multiple mistakes when it comes to the workings of phones and technology. The plot glosses over the basic facts of wiping phones, jailbreaking, warranties, and tech support.
56 / 100
- Director:Dennis Dugan
- IMDb user rating:3.3
- Metascore:23
- Runtime:91 min
In this woefully unfunny comedy, Adam Sandler plays two fraternal twins:Jack and his bungling sister, Jill. The film boasts several continuity gaffes including a scene set on “The Price is Right” game show—Jill bonks the left side of her head on the spinning wheel and in a subsequent scene holds an ice pack on the right side.
57 / 100
- Director:Peter MacDonald
- IMDb user rating:3.2
- Metascore:data not available
- Runtime:95 min
Jack Black had an early film role as one of the “Nasties” in the third installment of the fantasy classic. The movie is an awkward reworking that doesn’t live up to the wonder of the original, and is plagued by conspicuous gaffes with scale. Once Bastian’s back in Fantasia, he meets up with the giant flying dog Falkor, and a tiny gnome couple, but the relative size of the characters in relation to each other shifts from shot to shot.
58 / 100
- Director:Albert Pyun
- IMDb user rating:3.2
- Metascore:data not available
- Runtime:97 min
This low-budget nostalgia fest based on the comic book, but lacking all its charm, came and went without fanfare. In a montage of the Springfield Examiner newspaper, one headline misspells the town as “Sprinfield.”
59 / 100
- Director:Tom Brady
- IMDb user rating:3.2
- Metascore:9
- Runtime:97 min
This movie about a hapless nerd’s dream of becoming an adult film star falls miserably flat. In a scene where Bucky (Nick Swardson in a buck teeth prosthetic) eats a cookie, the large prop seems to be at least two different cookies within the scene. Christina Ricci stars as Bucky’s neighbor and friend, but she can’t elevate this grave mess.
60 / 100
- Directors:Jason Friedberg, Aaron Seltzer
- IMDb user rating:3.2
- Metascore:data not available
- Runtime:83 min
In an interview with SheKnows.com, “The Starving Games” star Cody Christian remarks that the spoof was “bringing everything out of [‘The Hunger Games’] that everyone wanted to see and laugh at, but they couldn’t obviously.” However, this spoof has an odd tone since parodying the deaths of kids, despite the absurdity of the source material, comes across as particularly unfunny and off-key.
61 / 100
- Director:Sylvain White
- IMDb user rating:3.2
- Metascore:30
- Runtime:93 min
Panned by critics and gaining only a tepid box office return, this horror film based on an internet meme failed to provide genuine thrills or scares. The production’s largest gaffe was that it seemed to tastelessly reference a real-life tragedy inspired by the internet figure.
62 / 100
- Directors:Matt Angel, Suzanne Coote
- IMDb user rating:3.2
- Metascore:data not available
- Runtime:94 min
Set in a creepy McMansion that’s up for sale, this horror film failed to garner much attention. One glaring mistake involves a basement step that breaks early in the film, appears fixed mid-film, and then shows up broken again in a later scene.
63 / 100
- Director:Uwe Boll
- IMDb user rating:3.1
- Metascore:data not available
- Runtime:95 min
Based on a video game, this action flick sets on a remote island where an evil scientist turns humans into mutants—their skin looks chalk white and they gain superhuman strength. In one sequence, a mutant chases the lead commando through a rusty factory. The mutant actor’s sweat clearly shows through the white make-up, most of which has rubbed off his arms.
64 / 100
- Director:Fred Savage
- IMDb user rating:3.1
- Metascore:13
- Runtime:93 min
In this entry to the “Daddy Day Care” franchise, Cuba Gooding Jr. stars as a camp counselor determined to help a group of kids enjoy the great outdoors despite a rundown campsite. Critics called the film cheap and ridiculous, and one scene references World of Warcraft but gets a detail about elves and druids wrong.
65 / 100
- Director:Sean McNamara
- IMDb user rating:3.1
- Metascore:21
- Runtime:110 min
Jon Voight stars in this story about school cliques and friendships based on the Bratz line of toy dolls. In a scene set in a school lab, a character does a test tube experiment that creates fireworks rendered in sparkling CGI. Another character dubs this “the Bernoulli effect,” a real thing in science having nothing to do with fireworks.
66 / 100
- Director:John McTiernan
- IMDb user rating:3.1
- Metascore:14
- Runtime:98 min
This update of the 1975 sci-fi thriller stars Chris Klein as the hero forced to play dangerous exploitative roller derby in a dystopian future. In the high-speed opening scene involving low to the ground motor-ish skateboards, the wheel of a production vehicle briefly pops into frame.
67 / 100
- Director:Vic Armstrong
- IMDb user rating:3.1
- Metascore:12
- Runtime:110 min
Set during the biblical rapture, in this nonsensical actioner Nicolas Cage plays an airline pilot forced to man a plane alone after his co-pilot gets “raptured” away. At one point, Cage’s character casually leaves the cockpit unmanned to address passengers in this film that showcases illogical depiction of aircraft, aerodynamics, and flight protocol.
68 / 100
- Director:Paul Michael Glaser
- IMDb user rating:3.0
- Metascore:24
- Runtime:93 min
Twenty years later, one review of basketball star Shaquille O’Neal’s genie film noted, “'Kazaam' feels almost breathtakingly weird and, despite itself, hilarious.” Shaq’s genie also raps— the player was a one-time successful rapper. The film features the song “We Genie,” ( a hit in Brazil) and when the mystical entity appears he speaks/raps lines like:“Who’s that sorry wannabe that disturbed my zzz’s?” and “Don’t matter how avaricious I’m the man that can grant your wishes.”
69 / 100
- Director:Joseph Sargent
- IMDb user rating:3.0
- Metascore:15
- Runtime:89 min
Lorraine Gary, who played Chief Brody’s wife in the first “Jaws,” returns in this third sequel about a vengeful shark. The film also stars Michael Caine and Mario Van Peebles in what’s widely regarded as an unnecessary addition to the franchise. The extremely fake-looking shark often growls and roars—things real sharks don't do.
70 / 100
- Director:Sean McNamara
- IMDb user rating:2.9
- Metascore:44
- Runtime:93 min
This is the fourth installment in the “3 Ninjas” franchise and stars a leather-clad Loni Anderson who at one point uses a whip on co-star Hulk Hogan. The story concerns three child ninjas and their hacker buddy, who try to keep the villain (played by Anderson) from wreaking implausible havoc on an amusement park. The film includes a central control panel with which to manipulate all rides throughout the park. One knob reads “temperature control,” though characters use it for speed adjustments.
71 / 100
- Director:Claudio Fragasso
- IMDb user rating:2.9
- Metascore:data not available
- Runtime:95 min
“Troll 2” is a paragon of ridiculously awful filmmaking, filled with idiotic plotting, abominable acting, and hilarious trolls that aren’t remotely scary. The film begins with grandpa reading a bedtime story about a boy named Peter—subsequent shots show he reads from Charles E. Carryl's book “Davy and the Goblin.”
72 / 100
- Director:Uwe Boll
- IMDb user rating:2.9
- Metascore:18
- Runtime:95 min
Ben Kingsley, Michael Madsen, and Michelle Rodriguez star in another of Uwe Boll’s video game-inspired spectacles. This one follows a hunted vampire woman in 18th-century Romania and displays Boll’s characteristic goofy gore. In an early scene, an extra clearly sports a modern day wristwatch.
73 / 100
- Director:Kenneth Johnson
- IMDb user rating:2.8
- Metascore:data not available
- Runtime:97 min
Shaquille O’Neal plays a superhero who wears a “steel” suit—he’s a metallurgy expert in this ridiculous action film that also stars Judd Nelson and Annabeth Gish. Shaq’s suit is especially ridiculous as it’s obviously not made of steel, but a flexible material that makes him look like an airbrushed, robo Tin Man.
74 / 100
- Director:Tom Hooper
- IMDb user rating:2.8
- Metascore:32
- Runtime:110 min
Despite its star-studded cast, this 2019 adaptation of the Tony award-winning musical “Cats” was a critical and box-office flop. One thing that earned the film hate was its bizarre and jarring use of CGI effects. These visual effects weren’t fully finished when the movie was sent to theaters, and eagle-eyed fans spotted a host of scenes where human body parts (like Dame Judi Dench’s hand) were left in place of feline body parts.
75 / 100
- Directors:Aaron Seltzer, Jason Friedberg
- IMDb user rating:2.8
- Metascore:11
- Runtime:83 min
This spoof of classic rom-coms starts badly and gets worse from there. Leading lady Alyson Hannigan sports body padding and dances through the streets in an opening effort to lampoon fat people. In a bit that copies Marilyn Monroe’s famous pose over a sidewalk grate, Hannigan’s body double is obvious.
76 / 100
- Directors:Jason Friedberg, Aaron Seltzer
- IMDb user rating:2.8
- Metascore:9
- Runtime:87 min
This tepid spoof of “300” goes so far as to display a book about the source movie and then smack a character in the face with it. This parody revels in self-conscious awareness of what it’s up to in attempts to get laughs. One glaring incongruence occurs when star Carmen Electra gets abused on a massage table by her masseuse. The pummeling clearly takes place upon an inanimate dummy and thankfully not on the actress or her stunt person.
77 / 100
- Director:Nicholas Webster
- IMDb user rating:2.7
- Metascore:data not available
- Runtime:81 min
The title promises a glorious mash-up of low-budget sci-fi and Christmas hokiness. The mistakes start right from the top in credits that spell “costume” as “custume.” And the custumes are something to behold—martians wear asymmetrical, possibly duct taped, hats with handmade-looking antenna and a side handle thingy. "Mystery Science Theater 3000" gave this film the proper tribute in 1991.
78 / 100
- Director:Tom Six
- IMDb user rating:2.7
- Metascore:5
- Runtime:102 min
The “final” third sequence of the Human Centipede franchise garnered a deservedly dismal domestic box office take of $16,000. The film’s repugnance (misogyny, racism, homophobia, etc.) is matched only by its stupidity. Though the film’s central premise gets touted as “100% medically accurate,” the “science” presented is bogus, as confirmed by medical doctors.
79 / 100
- Director:Bob Clark
- IMDb user rating:2.6
- Metascore:6
- Runtime:97 min
“Look Who’s Talking,” the 1989 comedy where Bruce Willis voices a baby, offered passable fun. The “Baby Geniuses” franchise obviously copies the same formula. The film used new-fangled CGI to create talking babies, but even with that advancement the dubbing sometimes doesn’t match and looks bizarre when CGI mouths animate on toddler actors with otherwise expressionless faces.
80 / 100
- Director:Martin Brest
- IMDb user rating:2.5
- Metascore:18
- Runtime:121 min
This notoriously terrible gangster film stars Ben Affleck, Jennifer Lopez, and Al Pacino. In one scene meant to create suspense and terror, Pacino’s tough guy shoots a patsy. The camera lingers on the victim’s brains splattered against a luxe fish tank which notably didn’t shatter despite being directly behind the dead man’s head.
81 / 100
- Director:James Wong
- IMDb user rating:2.5
- Metascore:45
- Runtime:85 min
This live-action adaptation of the Japanese manga series stars Chow-Yun Fat as a wise mentor to the character Goku who needs to save Earth. One action sequence, when characters race along a rural road, uses the rear-screen projection of a natural landscape when the scene is clearly shot in a studio. The film was so reviled by fans that the screenwriter issued an apology.
82 / 100
- Director:Roger Christian
- IMDb user rating:2.5
- Metascore:9
- Runtime:118 min
The astoundingly awful “Battlefield Earth” stars both John Travolta and Forest Whitaker as “Psychlos,” creatures with enormous manes, nose accouterments, and conspicuously bulky fingers with talon-like nails. Widely panned for stylistic and narrative ineptitude, one of the film’s most conspicuous gaffes concerns the Psychlo’s hands:some have six fingers, others five, and the same character's hands often seem to switch the number of digits from scene to scene.
83 / 100
- Director:Uwe Boll
- IMDb user rating:2.4
- Metascore:9
- Runtime:96 min
“Alone in the Dark” begins with a long, scrolling prologue read aloud by a narrator. Such prologues usually aren’t read aloud and convey orienting information. Instead, this one mentions disjointed elements about an ancient tribe who open a portal, the creatures from the portal who are in the dark, a government facility that shut down, as well as a different facility in a gold mine where a scientist creates “sleepers,” orphan kids or “lost souls.” In an early scene, Christian Slater, as a paranormal investigator, returns to his childhood orphanage, an outdoor location seen in long shot. At the film’s end, he escapes out a cement storm door on that orphanage’s front lawn that wasn’t there in the earlier shots.
84 / 100
- Directors:Jason Friedberg, Aaron Seltzer
- IMDb user rating:2.4
- Metascore:17
- Runtime:86 min
“Epic Movie” is yet another witless parody film from the same team behind “Disaster Movie” and “Date Movie.” This one brings spoofs of Willy Wonka, Narnia, the Harry Potterverse, and other pop films and moments that aren’t technically epic. The low point comes with the “Snakes on a Plane” bit featuring a Samuel L. Jackson impersonator who crashes and burns.
85 / 100
- Director:Rick Sloane
- IMDb user rating:2.3
- Metascore:data not available
- Runtime:88 min
The famously horrible rip-off of “Gremlins” actually got its own straight-to-video sequel thanks to its resurrection from obscurity by “Mystery Science Theater 3000.” In a scene where the creatures drive a golf cart, unmoving, stuffed hobgoblins sit motionless while the vehicle rocks and a fan blows their fur from offscreen.
86 / 100
- Director:Vondie Curtis-Hall
- IMDb user rating:2.3
- Metascore:14
- Runtime:104 min
Mariah Carey took home the Worst Actress Razzie Award for her role as Billie in “Glitter,” a film about a back-up-singer-turned superstar set in the 1980s. Despite the period setting, much of “Glitter” resembles the turn of the millennium in terms of costume and location. The film also features several continuity gaffes including one where Billie’s handbag switches shoulders in a dramatic scene where she slaps her boyfriend.
87 / 100
- Director:Don Michael Paul
- IMDb user rating:2.2
- Metascore:18
- Runtime:93 min
Big Boi a.k.a. Antwan André Patton stars in a comedy where he sports the kind of dapper golf wear usually seen on his OutKast partner André 3000. He plays a rapper determined to gain membership to a pretentious golf club populated with snotty white people. The New York Times' review of the film points out a problem with that narrative thread—as a graduate of Dartmouth, the rapper would have more experience with elite white institutions than is evident.
88 / 100
- Director:Lawrence Guterman
- IMDb user rating:2.2
- Metascore:20
- Runtime:94 min
Alan Cumming plays Loki in this sequel to the Jim Carrey hit “The Mask,” about a new father and his mask-empowered baby. In one sequence, a menacing Loki throws a giant grenade at the father-son duo. The baby creates a shield and all are unscathed, including Loki. In the next shot, Loki’s hair and costume are mussed as if from the blast.
89 / 100
- Director:Matthew Diamond
- IMDb user rating:2.1
- Metascore:32
- Runtime:88 min
This grating children’s film was conceived as an “ interactive theater experience for parents and children” but instead became one of the biggest box office flops of all time, grossing only $1 million after opening wide on 2,100 screens. Conceived as a “Teletubbies”-style kid’s romp, the film had a $20 million budget but still looks cheap while inexplicably featuring Cary Elwes, Toni Braxton, Jaime Pressly, and Chazz Palminteri. In Toni Braxton’s scene, a riff on “Dreamgirls,” she sings, “when you’re sick in bed with a nasty flu,” and despite seeming allergic to roses the set is bedecked with them.
90 / 100
- Director:Robert Iscove
- IMDb user rating:2.1
- Metascore:14
- Runtime:81 min
Starring the winner and the runner-up from the first season of “American Idol,” “From Justin to Kelly” follows a formula that comes across cold and flat despite its beach setting and teeny-bopper frenzy. One glaring mistake occurs when Kelly orders a burger from a food truck, takes the dish, and walks away without paying. The moment stands out as awkward to any audience members who are still paying attention.
91 / 100
- Director:Uwe Boll
- IMDb user rating:2.0
- Metascore:15
- Runtime:90 min
This zombie film based on a video game universe was hammered by critics for its plotless ineptitude. In one early scene, a man on a boat shoots the same zombie over and over again. The extra, costumed in a netting covered in seaweed, repeatedly dies, then appears on another part of the boat to get shot into the water yet again.
92 / 100
- Director:Bob Clark
- IMDb user rating:1.9
- Metascore:9
- Runtime:88 min
Dedicated to the ridiculous, this sequel about a commando preschooler stars Jon Voight, using a thick and uneven German accent, as a villainous officer in charge of an orphanage. The plot concerns a toddler-esque action hero whose various stunt doubles obviously mismatch with the child actor’s body size.
93 / 100
- Director:Harold P. Warren
- IMDb user rating:1.9
- Metascore:data not available
- Runtime:70 min
This notoriously horrible movie was produced and directed by an amateur as the result of a bet, and made famous by “ Mystery Science Theater 3000.” In an early scene, the director, who also stars, mouths the word “cut,” breaking character. The incoherent plot involves the deity Manos (“manos” is Spanish for hands), a strange cult, its “master” (wearing a cape with giant red hands on it), and also, burned, severed hands.
94 / 100
- Director:Tom Putnam
- IMDb user rating:1.9
- Metascore:7
- Runtime:91 min
This Paris Hilton rom-com was actually marketed as one of the worst reviewed films of all-time when it premiered overseas. The story follows a hottie (Hilton) and her hideous friend. The hottie won’t date until the ugly woman gets a date too. The makeup on the “nottie,” to create her body-wide repulsiveness, is obviously fake and excessive.
95 / 100
- Directors:Jason Friedberg, Aaron Seltzer
- IMDb user rating:1.9
- Metascore:15
- Runtime:87 min
The accidental irony of the film’s title is one of the hundreds of inanities in this spoof of the disaster film genre. It contains numerous unmatched shots and continuity errors, but one of its dumbest gaffes (perhaps intentional?) occurs when the Incredible Hulk’s jeans rip away. The giant green man quickly covers his privates, embarrassed, but not before the audience gets a clear view of undies painted green.
96 / 100
- Director:Valerie Breiman
- IMDb user rating:1.8
- Metascore:data not available
- Runtime:99 min
In 1989, before his “Saturday Night Live” days, Adam Sandler starred in this terrible movie about a comedian looking to do stand-up on a cruise ship after the regular comic disappears. Sandler’s character directly addresses the camera in awkward bits that bomb. Set on an ocean liner, the film features numerous long shot inserts of the ship and bodies of water that clearly aren’t matched locations.
97 / 100
- Directors:William Heins, Strathford Hamilton
- IMDb user rating:1.8
- Metascore:data not available
- Runtime:91 min
Set at the fictional South Beach University and starring Paris Hilton as a college student, this film abounds in the implausible. It’s a sex romp comedy about what it takes to be in a hot sorority and features misogyny that rivals what’s usual for the genre. Though the plot pits beautiful women (led by Hilton’s character) against those deemed undesirable, the film goes extra low when it comes to stereotypes, featuring an Indian woman named “Poo Poo,” alongside rampant toilet humor.
98 / 100
- Director:James Nguyen
- IMDb user rating:1.8
- Metascore:data not available
- Runtime:105 min
The most significant mistake in “Birdemic,” the CGI killer bird effects, also display the cult film’s greatest charm—its hapless, so-bad-it’s-good style. Reportedly made for a budget of $10,000 by an inexperienced cast and crew, the film abounds with errors in continuity and basic production mistakes across multiple categories. The killer bird effects, however, clash with the film’s rendering of reality, appearing as two-dimensional illustrations with wooden movements that hover in place over live-action footage.
99 / 100
- Director:Kartal Tibet
- IMDb user rating:1.6
- Metascore:data not available
- Runtime:110 min
The primary mistake of “Turks in Space,” aside from the decision to make it at all, is that it has no clear link to “The Man Who Saved the World”—a 1982 Turkish B movie—though billed as its sequel. The first film spliced unauthorized footage of “Star Wars” into its own gloriously cheesy sci-fi saga. This 2006 follow-up about the “Son” of the “Man” from the first film fails to re-create the charm of the original.
100 / 100
- Director:Darren Doane
- IMDb user rating:1.4
- Metascore:18
- Runtime:79 min
“Kirk Cameron’s “Saving Christmas” boasts 0% on Rotten Tomatoes’ Tomatometer and seems universally reviled. The film’s primary fault stems from the way its heavy-handed message (briefly, that atheism ruins Christmas) combines with uncommonly shoddy filmmaking. As the New York Times review points out, the film’s director can be overheard “tell[ing] an actor the digital camera can ‘roll all day.’”