Le vieil ouest. L'image que se fait la société moderne de ce à quoi ressemblait vraiment la frontière américaine dans les années 1800 provient autant de la réalisation de films que de récits écrits de cette époque et de photographies sépia dans lesquelles les gens ont tendance à avoir l'air très mal à l'aise (en raison du fait que les gens avaient rester parfaitement immobile pendant de longues périodes afin que l'image ne soit pas floue par le mouvement). Les westerns ont leurs racines dans l'ère du cinéma muet, où le mythe du cow-boy et le code du Far West étaient bien adaptés au médium :brutal, rugueux, violent, parlant peu, laissant l'action parler d'elle-même.
Au fur et à mesure que le XXe siècle évoluait, le cinéma et l'appétit du public pour le spectacle augmentaient également. Une fois l'ère du muet terminée, la popularité du western s'est poursuivie, en grande partie parce que c'était un type de film qui pouvait être réalisé avec un budget restreint et permettait le recyclage des décors, et même des points d'histoire d'un film à l'autre. Ainsi, chaque studio de cinéma, des géants comme Universal aux petits studios parvenus comme Fox Film Corp. et Republic Pictures, était chargé de donner vie au Far West. Des années 1920 aux années 1960, les westerns comptaient parmi les films les plus réussis aux États-Unis. Des stars comme Tom Mix et Buck Jones régnaient sur l'ère du noir et blanc, jusqu'à ce qu'en 1939, "Stagecoach" du légendaire réalisateur John Ford présente au monde Marion "Duke". Morrison, plus connu sous le nom de John Wayne. À cette époque, Wayne avait joué dans des dizaines de films qui n'avaient eu que peu d'impact, mais "Stagecoach" a établi une nouvelle norme pour ce que pouvait être un western.
Dans les décennies qui ont suivi, le Western a conservé son air de grandeur et son rôle dans la mythopoétique américaine en tant que lentille d'un passé lointain, même si la forme et la fonction du Western ont évolué parallèlement à l'évolution des mœurs sociales et des tendances vers plus granuleux, plus histoires réalistes et violentes. La popularité des westerns a résisté aux flux et reflux au box-office, produisant toujours ses légendes telles que Clint Eastwood, et à ce jour, ces films sont toujours produits et trouvent leur public.
Stacker a examiné les données du box-office de The Numbers et a classé les 50 westerns les plus rentables en fonction du box-office mondial. Le box-office national est fourni pour le contexte. Bien que les revenus ne soient pas la seule mesure du succès d'un western, ils sont révélateurs de la portée mondiale de ce genre et de l'empreinte typiquement américaine qu'ils ont laissée dans l'histoire du cinéma.
1 / 50
- Box-office mondial :18 296 646 $
- Box-office national :18 296 646 $
Le réalisateur Walter Hill a apporté sa cache de films d'action des années 1980 à cette épopée étoilée basée sur la résistance armée du chef Apache à l'occupation par le gouvernement américain des terres de son peuple. Wes Studi, lui-même originaire de Cherokee, joue le rôle principal, soutenu par un casting qui comprenait Gene Hackman (qui, pas étranger au genre, apparaît également ailleurs sur cette liste), Jason Patric, et dans une première performance, Matt Damon. Roger Ebert l'a qualifié de "film d'une grande beauté et d'une intelligence considérable".
2 / 50
- Box-office mondial :18 552 460 $
- Box-office national :18 552 460 $
Avant de figurer sur la liste A des réalisateurs hollywoodiens avec les films "Spider-Man", Sam Raimi a fait une pause dans sa série d'horreur "Evil Dead" pour créer cette histoire inhabituelle de vengeance et de représailles. Le film marque le premier regard du public sur le futur oscarisé Russell Crowe dans un film grand public; il incarne un ancien flingueur devenu prêtre qui est forcé (par son compatriote oscarisé Gene Hackman) de participer à un tournoi de fusillade aux côtés de Sharon Stone et d'un autre futur lauréat d'un Oscar, Leonardo DiCaprio.
3 / 50
- Box-office mondial :18 800 000 $
- Box-office national :18 800 000 $
Cette histoire de deux orphelins qui bravent les traîtres montagnes Rocheuses pour revendiquer un terrain de 400 acres dans l'Oregon a été réalisée par le vétéran du film familial Stewart Raffill ("Les aventures de la famille sauvage"; "Mac et moi"). Le New York Times l'a qualifié de "confection d'innocents contre la nature". La star Heather Rattray continuerait à apparaître dans "The Sea Gypsies" de Raffill l'année suivante.
4 / 50
- Box-office mondial :19 282 590 $
- Box-office national :données non disponibles
Salma Hayek et Penelope Cruz incarnent un duo de voleurs de banque pointus et sexy dans cette comédie d'action. Le film a été co-réalisé par Joachim Rønning et Espen Sandberg, qui connaîtront un succès international avec "Kon-Tiki", nominé aux Oscars, et le cinquième film de la série de films Pirates des Caraïbes, "Dead Men Tell No Tales".
5 / 50
- Box-office mondial :19 290 000 $
- Box-office national :18 290 000 $
Le réalisateur Mario Van Peebles a apporté un style visuel résolument moderne à cette histoire d'une bande de Buffalo Soldiers qui volent une cache d'or dans les années 1890 à Cuba et ne retournent en Amérique que pour affronter le KKK et des hommes de loi cherchant à être capturés. Le film n'a pas si bien marché auprès des critiques, bien que The New Yorker ait applaudi sa "vigueur féroce et sa brutalité impitoyable".
6 / 50
- Box-office mondial :19 537 346 $
- Box-office national :19 537 346 $
Réalisé par Richard Brooks de la célèbre "Cat on a Hot Tin Roof", cette histoire suit quatre hommes embauchés par un riche éleveur pour sauver sa femme des griffes d'un chef révolutionnaire devenu bandit. Burt Lancaster, Robert Ryan, Lee Marvin et Woody Strode jouent les sauveteurs, tandis que le futur oscarisé Jack Palance joue les lourds. Le film a reçu trois nominations aux Oscars, dont deux pour Brooks pour l'écriture et la réalisation.
7 / 50
- Box-office mondial :20 000 000 $
- Box-office national :20 000 000 $
Cette histoire d'un bandit armé énigmatique qui cherche une vie paisible dans le territoire du Wyoming était le western le plus cher réalisé en 1953, avec un coût de production de 3,1 millions de dollars. Le réalisateur George Stevens aurait voulu Montgomery Clift pour le rôle de Shane, mais lorsqu'il s'est avéré indisponible, le rôle est devenu un véhicule pour Alan Ladd, dont l'étoile déclinait à ce moment-là. Grâce à ce film, Ladd serait nommé l'une des dix meilleures stars de 1953, juste derrière le duc lui-même. "Shane" occupe la troisième place de la liste des meilleurs westerns de tous les temps établie par l'American Film Institute.
8 / 50
- Box-office mondial :20 400 000 $
- Box-office national :20 400 000 $
Réalisé par le légendaire King Vidor et mettant en vedette Gregory Peck, "Duel in the Sun" est l'histoire d'une jeune femme, jouée par Jennifer Jones, qui après la mort de son père va vivre avec des parents au Texas pour se retrouver la cible de un propriétaire de ranch cruel et soumis aux avances de son fils (Peck). La partition du film était de Dimitri Tiomkin, qui allait remporter des Oscars pour avoir marqué le "High Noon" de Gary Cooper Western et le drame de la Seconde Guerre mondiale "The High and the Mighty", avec John Wayne. (Fait amusant :Wayne a tellement aimé le travail de Toimkin qu'il l'a embauché pour marquer son propre premier film, "The Alamo", en 1960.)
9 / 50
- Box-office mondial :20 659 423 $
- Box-office national :20 659 423 $
Dans ce film, Tom Burlinson va travailler pour l'éleveur de chevaux Kirk Douglas dans les années 1880 en Australie et finit par gagner l'amour de la fille de Douglas, interprétée par Sigrid Thornton. Le film a été tourné sur place à Victoria, en Australie. Le réalisateur George T. Miller était normalement un incontournable de la télévision et des mini-séries, mais il a réalisé plusieurs autres films, dont la modeste comédie familiale "Andre".
10 / 50
- Box-office mondial :21 413 105 $
- Box-office national :21 413 105 $
Dans un complot classique de trahison et de vengeance, Quigley (Tom Selleck) incarne un tireur d'élite du Wyoming qui est attiré en Australie par un éleveur véreux qui tente de le manipuler pour qu'il cible les aborigènes, puis tente de l'assassiner pour avoir refusé. Après s'être échappé dans les bois, Quigley fait équipe avec les aborigènes pour abattre l'éleveur. Le réalisateur Simon Wincer, qui était déjà connu pour la série télévisée "Lonesome Dove", allait connaître un nouveau succès dans le genre occidental en tant que réalisateur de sa suite, "Comanche Moon".
11 / 50
- Box-office mondial :23 911 362 $
- Box-office national :22 406 362 $
Bien que John Wayne ait d'abord raconté cette histoire cinématographique, en 1960, cette réinvention du siège de l'Alamo est allée plus loin que ce classique en incluant non seulement le siège lui-même, mais la lutte ultérieure pour l'indépendance du Texas. Dans cette version, Denis Quaid joue le colonel Sam Houston aux côtés de Davy Crockett de Billy Bob Thronton et de Jim Bowie de Jason Patric. Après la fusillade à Alamo, où moins de 200 Texans ont retenu 2 000 soldats mexicains pendant 13 jours avant d'être envahis, l'armée de Houston a vaincu le dictateur mexicain Santa Ana pour obtenir l'indépendance en 1836 lors de la bataille de San Jacinto. Malgré son tirage relatif au box-office, "The Alamo" a été considéré comme un flop, car il a coûté 140 millions de dollars à produire et à commercialiser. Cinq ans plus tard, le réalisateur John Lee Hancock verrait Sandra Bullock à un Oscar dans "The Blind Side".
12 / 50
- Box-office mondial :25 052 000 $
- Box-office national :25 052 000 $
Cette prise sur le légendaire avocat Wyatt Earp a certainement atteint des proportions épiques. Avec plus de trois heures, le film suit Earp (Kevin Costner) depuis sa jeunesse jusqu'à ses jours en tant que chasseur de bisons et homme de loi à Wichita et Dodge City, Kansas, et enfin jusqu'au tristement célèbre Gunfight à l'O.K. Corral et le Vendetta Ride qui a suivi contre le gang de cow-boys qui a assassiné le frère d'Earp. Le réalisateur Lawrence Kasdan, célèbre pour "Big Chill" et "Empire Strikes Back", avait précédemment dirigé Costner dans le Western "Silverado" de 1985.
13 / 50
- Box-office mondial :25 532 388 $
- Box-office national :25 532 388 $
Le film qui a valu au réalisateur Robert Rodriguez une renommée internationale, "Desperado" est le deuxième de ce qu'on appelle la "trilogie mexicaine". Le film suit Mariachi (Antonio Banderas) alors qu'il traque un baron de la drogue mexicain et sa bande de desperados. Hors écran, Rodriguez a formé un lien avec son collègue réalisateur Quentin Tarantino qui conduirait à leur collaboration sur le film de vampire, "From Dusk Till Dawn" en 1996. Banderas reviendrait huit ans après "Desperado" pour clore la trilogie dans "Once Il était une fois au Mexique."
14 / 50
- Box-office mondial :27 000 000 $
- Box-office national :27 000 000 $
L'affiche emblématique de ce film dit presque tout. Clint Eastwood incarne Wales, un fermier du Missouri dont la famille est massacrée par un officier de l'armée de l'Union à la fin de la guerre civile. Après avoir rejoint un groupe hétéroclite de guérillas confédérées, le Pays de Galles devient, comme le dit l'affiche, "une armée d'un seul", affrontant des chasseurs de primes pour percevoir le prix sur sa tête et la milice de l'Union cherchant à le mettre derrière les barreaux. Le film est basé sur un roman de Forrest Carter, qui était en réalité le ségrégationniste Asa Earl Carter, fondateur d'un groupe dissident du Ku Klux Klan. Carter s'est dévoilé par inadvertance après avoir été interviewé à la télévision par Barbara Walters.
15 / 50
- Box-office mondial :27 911 453 $
- Box-office national :20 211 394 $
Dirigé par la légende de l'écran Ed Harris ("Apollo 13", "The Truman Show"), ce film, basé sur le roman de Robert B. Parker du même nom, suit Harris et Viggo Mortensen comme une paire d'hommes de loi itinérants qui viennent au ville d'Appaloosa pour arrêter un éleveur meurtrier, joué par Jeremy Irons, et dans le processus se retrouvent compromis par l'arrivée d'une jeune veuve (Renee Zellweger). C'était la deuxième fois que Harris passait derrière la caméra pour un film dans lequel il a également joué. Le premier était "Pollock", des années 2000, basé sur la vie de l'artiste Jackson Pollock.
16 / 50
- Box-office mondial :28 039 038 $
- Box-office national :10 576 669 $
Sur la base de l'affiche et du marketing du film, on pourrait être pardonné de ne pas se rendre compte qu'il s'agit d'un western. La réalisatrice Sofia Coppola était plus connue pour ses comédies dramatiques calmes et décalées comme "Lost in Translation" et "Marie Antoinette" lorsque ce film a fait ses débuts au Festival de Cannes 2017. C'est l'histoire d'un soldat blessé de la guerre civile (Colin Farrell) qui est recueilli par les pensionnaires d'un séminaire pour femmes. Alors qu'il se remet de ses blessures, sa présence inspire chez certaines jeunes femmes un éveil sexuel qui mène à des conflits et à des désirs interdits. Coppola a remporté le prix du meilleur réalisateur à Cannes pour ce film, la première fois en 50 ans, le prix est allé à une femme; la dernière était Yulia Solntseva en 1961.
17 / 50
- Box-office mondial :30 195 333 $
- Box-office national :30 178 619 $
Basé sur le roman classique d'Edna Ferber et mettant en vedette la dernière performance de la légende de l'écran James Dean, décédé dans un accident de voiture en septembre 1955, "Giant" est un film dans la tradition épique, suivant les fortunes, les amours et les pertes d'un trio de personnes (Dean, Rock Hudson et Elizabeth Taylor) dans un ranch de bétail au Texas. George Stevens a remporté l'Oscar du meilleur réalisateur, tandis que Dean, Hudson et l'actrice de soutien Mercedes McCambridge ont tous été nominés.
18 / 50
- Box-office mondial :31 559 552 $
- Box-office national :31 559 552 $
Ce véhicule Dustin Hoffman est basé sur le roman du même nom de Thomas Berger. C'est l'histoire de Jack Crabb, qui regarde en arrière du point de vue de l'âge de 121 ans au cours de sa vie, mettant en évidence des événements tels que les combats aux côtés du général Custer à Little Bighorn et le fait d'avoir été kidnappé et élevé par des Indiens. Le film est sorti avec une renommée quasi universelle, ce qui n'était pas nouveau pour le réalisateur Arthur Penn; à peine trois ans plus tôt, il avait également été salué pour son traitement de "Bonnie and Clyde".
19 / 50
- Box-office mondial :31 916 500 $
- Box-office national :31 916 500 $
Cette production de Walt Disney employait le slapstick et la bêtise à une époque où une école de cinéma granuleuse était en vogue. Un trio d'orphelins est envoyé vivre avec un joueur (Bill Bixby) et découvre qu'il a hérité d'une grande fortune de son père décédé. Après qu'une série de vauriens tentent de mettre la main sur l'or, les enfants décident de donner leur héritage à une paire de hors-la-loi moins que réussis (Tim Conway et Don Knotts). Le duo tente alors de voler l'or du coffre-fort de la banque où il se trouve. Le film a eu un tel succès auprès des familles qu'il a engendré une suite quatre ans plus tard.
20 / 50
- Box-office mondial :33 200 000 $
- Box-office national :33 200 000 $
Un casting de stars dirige ce western dirigé par Lawrence Kasdan. Scott Glenn, Danny Glover et Kevins Costner et Kline s'unissent pour sauver la ville de Silverado de l'oppression impitoyable d'un éleveur cupide et d'un shérif corrompu. Un succès critique, le film a aidé à lancer Costner en particulier, qui au cours des cinq prochaines années allait faire des succès au box-office "The Untouchables", "Field of Dreams" et oscarisé "Dances with Wolves".
21 / 50
- Box-office mondial :36 976 336 $
- Box-office national :29 819 114 $
Après avoir dirigé Jeff Bridges vers un Oscar dans "Crazy Heart" teinté de Western en 2009, le réalisateur Scott Cooper est retourné dans l'Ouest pour cette histoire d'un capitaine de cavalerie américain (Christian Bale) qui reçoit l'ordre d'escorter un chef Cheyenne - son ennemi juré - et sa famille à travers un territoire dangereux jusqu'à leur maison ancestrale dans la vallée des ours du Montana. Le film met en vedette le célèbre acteur amérindien Wes Studi.
22 / 50
- Box-office mondial :37 584 304 $
- Box-office national :27 007 844 $
Le réalisateur britannique David Mackenzie avait une multitude de films dans son œuvre avant de faire ce succès retentissant en 2016. L'histoire suit un ouvrier du pétrole au chômage (Chris Pine) qui fait équipe avec son frère prisonnier récemment libéré sur parole (Ben Foster) pour renverser une série des agences de la Texas Midlands Bank dans le but de rassembler suffisamment d'argent pour que le personnage de Pine laisse son ranch à ses fils séparés. Un fait intéressant qui se prête à la haute intensité du film est que Chris Pine tournait en même temps l'acteur de science-fiction "Star Trek Beyond" et n'était donc disponible que pendant deux semaines et demie, ce qui signifie que toutes ses scènes ont été tournées rapidement. et dans l'ordre.
23 / 50
- Box-office mondial :37 659 900 $
- Box-office national :31 132 592 $
La place de John Wayne dans la postérité en tant que cow-boy à l'écran le plus légendaire d'Amérique a été assurée lorsque "True Grit" a laissé tomber la cerise sur sa carrière variée et distinguée, ce qui lui a valu son seul Oscar du meilleur acteur. Wayne incarne Reuben "Rooster" Cogburn, un maréchal américain acariâtre mais profondément expérimenté qui, avec le Texas Ranger de Glen Campbell, aide une jeune femme (Kim Darby) à travers le territoire indien à se venger de l'homme qui a assassiné son père. Wayne reviendrait au rôle de Cogburn six ans plus tard, cette fois face au tour de Katharine Hepburn en tant que missionnaire dans "Rooster Cogburn (... and the Lady)."
24 / 50
- Box-office mondial :38 253 433 $
- Box-office national :26 900 336 $
Cette histoire d'un père et d'une fille séparés se déroule dans le Nouveau-Mexique des années 1880. Tommy Lee Jones et Cate Blanchett jouent le couple familial, qui forme une alliance difficile lorsque la fille de Blanchett est kidnappée par des Apaches et part à sa recherche. "The Missing" était la suite du réalisateur Ron Howard à "A Beautiful Mind", lauréat d'un Oscar. Le film utilisait un dialecte Apache authentique, dont Howard a déclaré:«Je ne cherchais pas simplement à exercer un vieux genre, mais plutôt à raconter une histoire qui était relatable sur le plan humain et passionnante et pleine de suspense, mais qui traitait toujours la période en une manière authentique.”
25 / 50
- Box-office mondial :41 410 568 $
- Box-office national :41 410 568 $
Clint Eastwood a réalisé et joué dans cette histoire d'un prédicateur qui tente de persuader un propriétaire foncier local d'abandonner ses tentatives de rattraper une opération d'extraction d'or. Avec un slogan comme "... et l'enfer a suivi avec lui", vous pouvez deviner que cela ne se termine pas trop paisiblement. Il s'agissait du premier Western Eastwood réalisé depuis "The Outlaw Josey Wales" en 1976. Il n'en fera pas un autre avant 1992, mais vous devrez parcourir la liste un peu plus loin pour en savoir plus sur celui-ci.
26 / 50
- Box-office mondial :43 440 947 $
- Box-office national :43 440 947 $
La dernière personne que vous pourriez penser serait prête à faire un western serait le comédien Billy Crystal, connu pour ses comédies plus urbaines comme "Quand Harry rencontre Sally" et "Running Scared". Mais il n'en a pas fait un mais deux - le second étant une suite de "City Slickers" de 1991. Crystal, avec ses co-stars Jon Lovitz et Daniel Stern, incarnent trois citadins qui se dirigent vers la prairie solitaire, cette fois pas pour se détendre, mais pour chasser le trésor promis par une carte secrète laissée entre leurs mains après la mort de cow-boy guide Curly (Jack Palance). Même si le personnage de Curly est mort, Palance est revenu à son rôle oscarisé pour le film. (Fait amusant :Palance a été nominé en 1953 pour un autre western, le classique "Shane".)
27 / 50
- Box-office mondial :44 143 410 $
- Box-office national :44 143 410 $
Après le succès du premier "Young Guns", les stars originales Emilio Estevez, Kiefer Sutherland et Lou Diamond Phillips sont revenues deux ans plus tard pour cette suite, qui retrace les tentatives de Billy the Kid de distancer le shérif Pat Garrett. Le cadre narratif du film utilise l'affirmation réelle de "Brushy" Bill Roberts dans les années 1940 selon laquelle il était, en fait, Billy the Kid, et n'a pas été tué par Garrett en 1881. L'affirmation de Roberts a été écartée, malgré plusieurs amis survivants de le hors-la-loi l'identifiant. Le chanteur Jon Bon Jovi a écrit et chanté toute la bande originale du film et a même un petit rôle en tant que criminel jailbreaké qui rencontre une mort laide.
28 / 50
- Box-office mondial :44 726 644 $
- Box-office national :44 726 644 $
En 1988, le Brat Pack rencontre le Far West. Chargé de certaines des jeunes stars les plus brillantes des années 1980, "Young Guns" raconte une variante fictive de l'histoire d'origine derrière la façon dont William H. Bonney est devenu hors-la-loi Billy the Kid. Estevez joue le Kid; le vrai frère Charlie Sheen joue le chef de l'équipe de hors-la-loi appelée les régulateurs. Le film culmine dans la guerre du comté de Lincoln, au cours de laquelle l'équipe du Kid a affronté une série de propriétaires terriens irlandais ainsi que l'armée américaine. Le film prend plusieurs libertés avec des faits historiques, parmi lesquels John Tunstall (Terence Stamp), un personnage bienveillant dans la vie de Bonney qui l'a aidé à trouver du travail dans son ranch, était un homme plus âgé - en réalité, il avait environ 24 ans lorsque Billy a su lui.
29 / 50
- Box-office mondial :45 411 063 $
- Box-office national :45 411 063 $
Accusé à tort de meurtre, le bûcheron Grizzly Adams (Dan Haggerty) se réfugie dans la nature où il apprend à survivre et « adopte » un ourson orphelin, qu'il nomme Ben. Ce clin d'œil du milieu des années 70 à l'exil et à la rédemption peut sembler idiot et sombre dans la même mesure, mais c'est en fait un film familial classé G qui a engendré toute une carrière pour la star Haggerty, qui jouera ensuite Adams dans une série télévisée basée sur le film à la fin des années 70, ainsi que d'autres films dont "The Capture of Grizzly Adams" et "Grizzly Mountain". Le réalisateur Richard Friedenberg connaîtra un grand succès en tant que scénariste de "A River Runs Through It".
30 / 50
- Box-office mondial :46 500 000 $
- Box-office national :46 500 000 $
Il serait plus rapide de lister qui ne l'était pas impliqués dans cette extravagance occidentale que ceux qui l'étaient. Organisé en cinq "chapitres", ce film avait trois réalisateurs :John Ford, George Marshall et Henry Hathaway (qui a réalisé trois des cinq). L'histoire suit les tribulations et les triomphes d'une famille des années 1830 aux années 1880, évoquant la guerre civile et les conflits indiens, ainsi que la romance et les conflits avec les bandits. Le casting est si grand que l'affiche du film ne pourrait même pas tout contenir, mais les stars les plus brillantes incluent James Stewart, John Wayne, Henry Fonda et Gregory Peck, ainsi que Spencer Tracy, qui fournit une narration en voix off pour tenir les cinq chapitres ensemble. .
31 / 50
- Box-office mondial :46 918 287 $
- Box-office national :46 918 287 $
Après le cadre de l'air du temps "Saturday Night Fever", John Travolta pouvait à peu près tout faire, et il a choisi de sortir du type dans ce drame sur un jeune homme naïf qui apprend l'amour à la dure, en grande partie dans une boîte de nuit de Houston. Debra Winger joue le rôle de Sissy, l'objet de l'amour et de la frustration de Travolta. L'équitation de taureau mécanique et - bien sûr, puisqu'il s'agit d'une photo de Travolta - la danse fournissent la poussée narrative du film, qui parvient également à lancer une intrigue secondaire de vol. On attribue à la bande originale du film la diffusion de la musique country à une époque où le disco régnait sur les ondes.
32 / 50
- Box-office mondial :56 505 065 $
- Box-office national :56 505 065 $
"Je suis ta myrtille." Ainsi dit Doc Holliday de Val Kilmer alors qu'il s'approche du méchant Johnny Ringo (Michael Biehn) dans une clairière tranquille, et à la fois une fusillade rapide et mortelle et une plaisanterie classique sont nées. Arrivé sur les écrans moins d'un an avant la prise de vue de Kevin Costner sur la vie de Wyatt Earp, ce film se concentre sur le temps d'Earp dans la ville de Tombstone, en Arizona, longtemps après la fin de ses jours en tant que juriste. Avec ses frères, Earp (Kurt Russell) tente de créer une entreprise pour lui-même, tombe amoureux d'une chanteuse (Dana Delaney) et se retrouve dans le collimateur d'un groupe de hors-la-loi meurtriers déterminés à diriger un réseau criminel, peu importe le Coût. Kilmer a ensuite utilisé sa célèbre ligne comme titre d'un mémoire, dans lequel il décrit à quoi ressemblait le tournage du film, ainsi que ses luttes contre le cancer. Il a également été ouvert sur les problèmes en coulisses du film:après le licenciement du premier réalisateur Kevin Jaffe, Kilmer a déclaré que la star Russell "[a établi] des listes de plans pour aider notre réalisateur de remplacement, George Cosmatos, qui est arrivé avec seulement deux jours de préparation ."
33 / 50
- Box-office mondial :68 613 992 $
- Box-office national :58 331 254 $
L'affection du réalisateur Kevin Costner pour le Far West s'est poursuivie dans cette histoire d'un flingueur réformé (Robert Duvall) qui se retrouve à contrecœur entraîné dans un conflit avec un propriétaire foncier (Michael Gambon de la renommée "Harry Potter") qui veut conduire Duvall et son bétail équipage (dirigé par Costner) hors du territoire. Annette Bening joue une femme locale qui offre une aide aimable à l'équipage après qu'une embuscade de minuit les a blessés. Le film a été un succès critique et commercial, Roger Ebert le qualifiant de "western profondément captivant et magnifiquement réalisé".
34 / 50
- Box-office mondial :71 171 825 $
- Box-office national :53 606 916 $
Basé sur une nouvelle d'Elmore Leonard, ce film oppose le criminel de Russell Crowe à l'éleveur de Christian Bale dans une bataille de volontés. Dan Evans (Bale) est un éleveur pauvre dont le fils William se prend pour un tireur. Lorsqu'on demande à Evans d'aider à escorter Ben Wade (Crowe) jusqu'au train de 15 h 10 pour Yuma, il voit une opportunité de gagner suffisamment d'argent pour sauver son ranch et, ce faisant, gagner le respect de son fils. Mais les attaques des Indiens et de la propre équipe de hors-la-loi de Wade en font une entreprise périlleuse, tout comme les tentatives persistantes de Wade de saper toute l'opération. Cette histoire a déjà été portée au grand écran, en 1957, avec Glenn Ford et Van Heflin dans les rôles principaux.
35 / 50
- Box-office mondial :71 189 835 $
- Box-office national :56 932 305 $
Après le succès international de "Rumble in the Bronx" en 1995, la star des arts martiaux Jackie Chan était un ticket chaud au box-office. Ce film le présente comme un garde impérial chinois chargé par l'empereur de se rendre dans le nouveau monde à la recherche d'une princesse kidnappée. Là, il s'associe à un voleur aux aspirations de cow-boy (Owen Wilson), et le couple improbable trébuche d'une mésaventure à l'autre (avec une tonne de blagues et de combats entre les deux). Chan et Wilson continueraient à co-vedette dans la suite (encore plus rentable) "Shanghai Knights" et "Le tour du monde en 80 jours".
36 / 50
- Box-office mondial :86 778 557 $
- Box-office national :42 720 965 $
"L'Ouest américain est un endroit dégoûtant, affreux, sale et dangereux." Ce regard comique révisionniste moderne sur le mythe du vieil ouest ne fait aucun effort pour ridiculiser tout ce sur quoi les westerns traditionnels comptent pour leur mystique et leur longévité. Lorsque votre méchant s'appelle "Clinch Leatherwood", il n'y a vraiment aucun trope traditionnel à l'abri de l'envoi. Écrit et réalisé par le comédien Seth MacFarlane, cette histoire d'un pauvre éleveur de moutons qui se fait larguer par sa petite amie prétentieuse, se heurte à un tueur local et est généralement un lâche de toutes les manières imaginables n'a peut-être pas touché le sweet spot des critiques, mais il a marqué une cible relative avec le public.
37 / 50
- Worldwide box office:$88,316,835
- Domestic box office:$60,470,220
Jackie Chan and Owen Wilson return in this sequel to “Shanghai Noon.” This time the pair are on the road to revenge after a Chinese rebel murders Chon’s (Chan) father. The adventure leads to London, where they encounter Chon’s sister (Fann Wong) with similar aspirations of vengeance, and together the trio uncover a plot to eliminate England’s Royal Family. Director David Dobkin has since gone on to success as a producer of TV hits such as “Into the Badlands” and “Sugar,” as well as directing “Wedding Crashers,” also featuring Owen Wilson.
38 / 50
- Worldwide box office:$98,000,000
- Domestic box office:$98,000,000
The anti-establishment vibe of the late 1960s runs deep in this tale of a half-Indian/half-white ex-Green Beret—who is, incidentally, also an expert in hapkido—who gets involved in the protection of a local free arts “school” in the western desert against the oppression of local townsfolk—and also manages to protect wild horses from being slaughtered for dog food. Written, directed, and starring Tom Laughlin, “Billy Jack” attempted to capture the general mood of disaffected youth in the wake of the Vietnam War protests, as well as the ire against the U.S. government’s treatment of Native peoples, and in the process created something of a counterculture icon.
39 / 50
- Worldwide box office:$102,310,711
- Domestic box office:$102,308,900
Featuring one of the most famous and stirring endings in cinema history, this loosely fact-based story follows outlaws Robert LeRoy Parker, aka Butch Cassidy (Paul Newman), and Harry Longabaugh, aka The Sundance Kid (Robert Redford) in early 1900s Wyoming. A botched train heist sends the pair on the run—all the way to Bolivia. The film was an Oscar winner four times over, though not in any of the “top” categories. Director George Roy Hill would soon get his, however, in another Redford/Newman romp, 1973’s “The Sting.” Newman later founded a camp for children, naming it in homage to his experience on this film.
40 / 50
- Worldwide box office:$108,086,731
- Domestic box office:$67,286,731
This biopic from director Joe Johnston (“Jumanji,” “Captain America:The First Avenger”) tells the story of Frank Hopkins (Viggo Mortensen), a former U.S. Cavalry scout who works as a stunt rider for Buffalo Bill’s Wild West Show. When an Arab sheikh challenges Hopkins to prove the show’s claim that he is the world’s greatest endurance rider, he and his trusty mustang, Hidalgo, are off on an adventure to compete in the Ocean of Fire, a 3,000-mile survival race across the Arabian desert. The historic origins of the film’s narrative were called into question when little evidence could be found that Hopkins was ever part of the Buffalo Bill show. Of course, that didn’t stop audiences from coming out in droves.
41 / 50
- Worldwide box office:$113,461,527
- Domestic box office:$50,701,325
It took several tries to bring this Stephen King novel to the big screen. In 2007, J.J. Abrams (of Star Wars and Star Trek fame) and Damon Lindelof (“Lost”) were prepped to adapt the book, but left the project out of fear of failure. Director Ron Howard was next to take a crack at it, planning not just a film but a TV series as well, but cost precluded the studio from committing. Finally, Sony Pictures got hold of the rights, and voila , this dark tale of the Gunslinger (Idris Elba) who protects a boy against The Man in Black (Matthew McConaughey), a warlock who wants to use the boy’s visionary powers to destroy the Dark Tower and unleash hell finally came to be. Alas, Stephen King himself was disappointed in the results, largely based on the movie’s PG-13 rating.
42 / 50
- Worldwide box office:$152,366,784
- Domestic box office:$54,117,416
Director Quentin Tarantino has made a career out of taking his influences and filtering what might otherwise be pastiche into something entirely different. His first try at a Western follows a bounty hunter, played by Kurt Russell, on the road to delivering a prisoner (Jennifer Jason Leigh in an Oscar-nominated role) to custody, who holes up in a cabin in Wyoming amidst a storm, only to find he must share time (and a relatively small space) with a cadre of questionable individuals. Tarantino hired none other than Ennio Morricone, the composer behind the timeless score for Clint Eastwood’s “Dollars Trilogy,” to score the film, earning him the only Oscar he ever won.
43 / 50
- Worldwide box office:$159,157,447
- Domestic box office:$101,157,447
The traditional Western had lost some of its cache by the early 1990s, but the release of this film ushered in a renewal of interest in the genre. Clint Eastwood directs himself as a lonely former gunslinger named William Munny, who is mourning the death of his wife when he accepts one last job—to find and shoot down the men who disfigured a prostitute. After engaging an old partner (Morgan Freeman), Munny finds much more danger than anticipated when he goes up against Sheriff “Little Bill” Daggett (Gene Hackman in an Oscar-winning performance) whose sense of justice lies solely in whatever keeps him in control of the town of Big Whiskey. The American Film Institute ranked “Unforgiven” as #4 on its list of all-time great Westerns.
44 / 50
- Worldwide box office:$160,502,573
- Domestic box office:$66,502,573
The international appeal of star Brad Pitt helped bring this story about three brothers (Pitt, Aidan Quinn, and Henry Thomas) whose lives are torn by World War I to a wider audience. Sir Anthony Hopkins plays the father, a former colonel now retired in the Montana wilderness. Director Edward Zwick was no stranger to epic tales of war, having directed 1989’s “Glory,” set during the Civil War. He would follow this film with “Courage Under Fire,” the plot of which revolves around Operation Desert Storm.
45 / 50
- Worldwide box office:$162,122,642
- Domestic box office:$93,432,655
This remake of the 1960 Yul Brenner classic—itself a reimagining of Akira Kurosawa’s “Seven Samurai”—stars Denzel Washington, Ethan Hawke, and Chris Pratt in the story of seven disparate gunmen who band together to defend a town against a ruthless industrialist. This version is more than an update in terms of filmmaking technique; it also deftly introduced what modern society refers to as PTSD, which manifests in Hawke’s character, a Civil War veteran whose emotional scarring precludes him from being able to kill. Director Antoine Fuqua was, in fact, explicit that his version of this story intentionally reflected aspects of contemporary society, saying, “A Western movie [is] a good reflection of where things are in the world at that time. It’s probably one of the purest forms of cinema that really tells you where the world is.”
46 / 50
- Worldwide box office:$183,015,237
- Domestic box office:$101,631,272
Director Richard Donner reunited with his “Lethal Weapon” star Mel Gibson for this adaptation of the 1950s and 60s television series. Bret Maverick (Gibson) is a professional card player and con artist who meets his match in the guise of a beautiful thief, played by Jodie Foster, as he attempts to swindle his way to enough cash to enter a high-stakes poker tournament. James Garner, who played Maverick in the original TV series, is along for the ride as a legendary lawman and compatriot of Maverick’s. The film was a smash with critics and audiences alike, topping the box office on its opening weekend.
47 / 50
- Worldwide box office:$252,276,928
- Domestic box office:$171,243,005
Legend of the Duke notwithstanding, this version of Charles Portis’ classic novel of honor and determination quickly entered the echelon of top all-time Westerns. Jeff Bridges assumes the role of Rooster Cogburn, supported by Matt Damon as Texas Ranger LaBoeuf, and Hailee Steinfeld as the young girl who hires them to track down her father’s murderer (Josh Brolin). Directors Joel and Ethan Coen had all manner of difficulties in creating a gritty reality for the film, none of which betray themselves on screen. From proper horse training to making sure the language used was consistent and authentic to working within the boundaries imposed by having cast 13-year-old Steinfeld. “You know,” Ethan Coen told NPR, “we knew what we were getting into, shooting a movie with horses and a 13-year-old.”
48 / 50
- Worldwide box office:$260,002,115
- Domestic box office:$89,302,115
Throughout most of the 1950s, “The Lone Ranger” was one of the most popular television shows in America, and even earlier than that it was a radio serial in the 1930s that inspired a generation of young boys during the Depression years. The show’s theme—the finale to Rossini’s “William Tell Overture”—to this day retains its connection to the show in pop culture. This modern reimagining stars Armie Hammer as the Lone Ranger and Johnny Depp as Tonto, a casting decision that resulted in some controversy within the Native American community when the film was released. The star, however, was adamant that his portrayal of the Comanche character was “no joke” and was, in fact, meant to be an earnest depiction of an honorable man. Critics and audiences were split on the film, though it managed to be one of 2013’s biggest draws.
49 / 50
- Worldwide box office:$424,208,805
- Domestic box office:$184,208,842
Though it would eventually be one of the highest earning films of the year, “Dances with Wolves” was a slow burn with audiences, a scenario typical for a movie released during what is known as “awards season,” when limited screenings take place in advance of a wider release. This epic tale of a disillusioned lieutenant assigned to a remote Western outpost who befriends and eventually takes up arms to defend a Native American tribe stars Kevin Costner (who also directed the film and won an Oscar for it), Mary McDonnell, and Graham Greene (an Oneida Indian, who was born on the Six Nations Reserve in Canada). The film would be nominated for 12 Oscars, winning seven, including Best Picture of the Year. Michael Blake, whose novel the film is based on, took his inspiration for McDonnell’s character in part from the story of a young woman kidnapped by the Comanche in 1836 and eventually rescued by Texas Rangers in 1860. (This real-life occurrence would serve as the basis for another classic Western, John Ford’s “The Searchers.”)
50 / 50
- Worldwide box office:$449,841,566
- Domestic box office:$162,805,434
A smash hit right out of the gate, this Quentin Tarantino-helmed film tells the story of a freed slave (Jamie Foxx) who partners with a bounty hunter (Christoph Waltz, in an Oscar-winning performance) to rescue his wife, who has become the “property” of a crooked plantation owner (Leonardo DiCaprio). The film does not shy away from its depiction of enslaved people—the plot of the film, in fact, hinges on the separation of Django and his wife at a slave auction, and Django’s freedom is only provided after he is “purchased” by Waltz’s King Schultz. The film was a hit with critics and audiences alike, and earned Tarantino his second Academy Award for screenwriting. The commitment of the film’s cast is well documented, among the more startling points is co-star Kerry Washington’s insistence on filming a graphic whipping scene herself without a stunt double, and DiCaprio’s having cut his hand pretty badly on a broken glass, the scene for which is the one you see in the film’s final cut.
